SARL : cession de parts sociales à des tiers et procédure d’agrément
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Il ne faut pas confondre suspension et annulation du permis : en cas de suspension, l’automobiliste peut, à l’issue de la suspension, récupérer son permis, ce qui lui permet de reconduire. En cas d’annulation, il ne récupère jamais son permis : pour pouvoir reconduire, il doit repasser l’examen du permis de conduire.
Lorsque sont commises de graves infractions au Code de la route, en particulier : excès de vitesse d’au moins 30 km au-dessus de la vitesse maximale autorisée, récidive d’excès de vitesse, non-respect de la priorité, d’un stop ou d’un feu rouge, conduite en état d’ivresse avec un taux d’alcoolémie égal ou supérieur à 0,50 g/l de sang, fuite, circulation en sens interdit sur les autoroutes, utilisation d’un détecteur de radar, non-respect de l’obligation d’assurance.
Le non-respect de la ligne continue, le stationnement et le dépassement dangereux, la conduite avec un téléphone à la main, la conduite sur les bandes d’arrêt d’urgence des autoroutes et la circulation sur la partie gauche de la chaussée en marche normale, ainsi que le non-respect de la priorité lors des manœuvres à l’intérieur d’un carrefour giratoire, le dépassement en côte, dans un virage sans visibilité, l’arrêt ou le stationnement dangereux sur la bande séparative des chaussées peuvent également faire l’objet d’une suspension.
Lorsqu’il y a présomption de conduite sous l’empire d’un état alcoolique ou sous l’influence de plantes ou substances classées stupéfiantes (ou refus de se soumettre à un tel dépistage), les agents et officiers de police judiciaire peuvent effectuer la rétention du permis (ne pas confondre avec la suspension) pour une durée maximum de 72 heures.
Si le dépistage est négatif ou si les résultats de l’analyse ne sont pas parvenus dans un délai de 72 heures, le permis doit être remis à son titulaire.
Au lieu de prononcer une suspension de permis de conduire, le préfet peut à l’égard d’un automobiliste contrôlé à plus de 0,80 g/l de sang (et de moins de 1,8 g/l), lui donner l’autorisation de conduire, mais uniquement un véhicule équipé d’un éthylotest électronique antidémarrage (EAD), et cela pendant 6 mois. Le tribunal, au moment où le contrevenant lui sera présenté, pourra décider de prolonger cette obligation, pour une durée pouvant aller jusqu’à 5 ans. Cette mesure s’accompagne d’un stage spécifique obligatoire dans un établissement spécialisé en addictologie.
BON À SAVOIR : Si l’on est titulaire de plusieurs permis, ils sont tous suspendus automatiquement : impossible de se servir d’un permis autre que celui qui a été retiré.
C. route : Art. L. 224-1 et s. et R. 224-11 et s.
Il ne faut pas confondre :
Les tribunaux peuvent prononcer l’annulation du permis en cas de :
En cas de récidive ou de conduite en état d’ivresse et en cas de conduite en état d’ivresse ayant entraîné la mort ou des blessures graves (incapacité de plus de 3 mois), le permis est annulé de plein droit.
S’il désire reconduire un véhicule, l’automobiliste est obligé de repasser l’examen du permis.
Mais il ne pourra se présenter à l’examen qu’après un délai fixé par le tribunal. Le délai maximum est de 3 ans, après avoir passé un examen ou une analyse médicale, clinique, biologique et psychotechnique à ses frais.
C. route : Art. L. 234-13 et R. 224-20 et s.
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